A Paris, il trouve sa voie dans la pratique du portrait et propose ses services à la presse, avec laquelle il collabore régulièrement. Il photographie anonymes et ­célébrités, pour les plus grands journaux. Ses portraits sont publiés partout à travers le monde, dans Libération, Elle, Télérama, Studio ou Time Magazine.

Abandonnant son travail de portraitiste, il s’échappe ensuite pour parcourir avec obsession des contrées lointaines. De la Corée du Nord à la Chine en passant par la Birmanie, il rapporte de ses périples des ­photographies, de rencontres et des histoires qu’il intègre dans ses ouvrages et notamment dans des carnets de voyage.

Patrcik Swirc a exposé Lettre à Claire aux Rencontres d’Arles en 2008, une suite d’images sous format vidéo, qui retranscrit trois mois durant lesquels l’artiste réalise une photographie quotidienne dans le souhait de reconquérir son amour perdu.

En novembre 2010, il expose La mère des morts, une série de vanités et natures mortes contemporaines qui fait l’objet d’un livre préfacé par Christian Lacroix.

Patrick Swirc vit et travaille à Paris.